Addiction aux réseaux sociaux : quels dangers ?

Article réalisé par un de nos groupes d’élèves de 4°E dans le cadre de la classe expérimentale multimédia

Vous aimez passer du temps sur vos réseaux sociaux ?
Attention si vous utilisez trop TikTok, Instagram ou Snapchat, ces réseaux peuvent vous procurer du stress, des difficultés à vous endormir, un affaiblissement du système immunitaire, ou encore des dépressions…

Les réseaux sociaux sont des outils utiles pour parler, se divertir. Mais il faut savoir se fixer une limite de temps, ne serait-ce que pour 3 raisons :

  • éviter de devenir addict
  • passer plus de temps avec ses proches
  • en profiter pour faire du sport
Ne restez pas prisonnier de vos réseaux !

De 1 à 2 % de la population développe une sorte de cyberdépendance des réseaux sociaux. Le manque de sommeil et la diminution de la productivité au travail sont également des signes que l’addiction s’installe ou est installée.
Cette addiction pourrait être prise pour une addiction sans drogue et devrait alors répondre aux quatre critères communément reconnus pour les addictions :

  • Une envie irrépressible de réaliser un besoin ;
  • La fréquence excessive, croissante, non contrôlée du comportement au détriment d’autres activités ;
  • L’augmentation de la fréquence du comportement pour ressentir les mêmes effets psychologiques ;
  • La poursuite du comportement malgré des conséquences dommageables.

Dans une interview, Michael Stora, psychologue et psychanalyste spécialiste des mondes du numérique, répondait à la question suivante : « Quelles mesures un parent peut-il prendre pour son enfant ? »

Si l’on perçoit des signes de rupture de lien social, il ne faut surtout pas hésiter à demander de l’aide auprès d’un psychologue ou d’un psychanalyste.

Mais pour les personnes « addicts », elles sont pour la plupart conscientes. De ce fait, 2 personnes sur 3 disent être concernées par l’addiction aux réseaux sociaux. Le ministre salut l’initiative de certains d’entre eux de mettre en place un compteur de temps passé sur les réseaux sociaux.

Sources :
Psychologies.com
TopSanté